mardi 18 décembre 2007
Sous la glace les poissons
Oui, l'hiver est bien là, pour preuve, 3cm de glace dans mon "bassin" extérieur, mais les poissons rouges supportent!
jeudi 15 novembre 2007
Novembre très sombre
dimanche 12 août 2007
mardi 31 juillet 2007
Mon coin bonsaï en cours de création
Je suis en train de créer un coin présentoir pour mes bonsaïs. Voici la première phase.
Pour l'instant c'est peu fourni, mais j'attends l'automne. Pour info, le pin abiès dans le pot bleu clair qui se trouve au dessus du meuble est un jeune plan de jardinerie que je vais travailler mais pas avant le printemps prochain ( ligaturage, taille et surtout rempotage dans un petit pot).
N'hésitez pas à commenter, même à faire des remarques.
Pour info et pour Marie-Claude, le meuble vient de chez Pier Import.
Pour l'instant c'est peu fourni, mais j'attends l'automne. Pour info, le pin abiès dans le pot bleu clair qui se trouve au dessus du meuble est un jeune plan de jardinerie que je vais travailler mais pas avant le printemps prochain ( ligaturage, taille et surtout rempotage dans un petit pot).
N'hésitez pas à commenter, même à faire des remarques.
Pour info et pour Marie-Claude, le meuble vient de chez Pier Import.
lundi 2 juillet 2007
Week-end en baie de Somme suite
La baie de Somme, paradis des oiseaux et des phoques, les oiseaux sont trop éloignés et les phoques invisibles!
Saint Valery sur Somme, jolie petite ville médiévale qui surplombe la baie.
Week-end au Touquet et Baie de Somme
mercredi 20 juin 2007
Les tornades sur Mars
lundi 18 juin 2007
L'histoire de ma famille
Voici l'histoire connue à ce jour de la famille du côté paternel et recopiée fidèlement suivant les écrits de mon père Roland.
Mon grand père Claude-Marie, né à Saint Laurent en Brionnais était un paysan dans tous les sens du terme pour l'époque, très frustre, levé avant le jour et couché tard! Il travaillait très dur!
Mariè à ma grand mère Louise Grizard qui était tout le contraire. C'était un femme intelligente, bonne, très pieuse et évoluée pour son époque. Elle venait d'une famille des environs de Roanne où ses parents étaient artisans drapiers. Elle fut "placée" à Lyon et j'ignore comment ils se sont rencontrés.
Mon grand père dût faire son service militaire dans l'infanterie de marine. Il est parti directement en Cochinchine. Il fit la guerre là bas et revint en France juste pour commencer celle de 1870. Il faut préciser qu'il était parti pour 7 ans, à cette époque, pour le service militaire il fallait tirer un numéro et si on tombait sur le mauvais, on était enrôlé pour cette durée! Il a été fait prisonnier à Sedan et revint, à la fin de la guerre à son domicile à Vareilles à pieds!
Le couple eût 4 fils:
- le plus agé, Benoit (mon parrain) était un garçon très intelligent, et fit des "études" avec l'aide financière de chatelains de la région qui avaient remarqué ses dons. Il entra dans les ordres et devint abbé. Il fut nommé au Creusot comme curé de la paroisse St Laurent. Il faisait le catéchisme à l'école spéciale (Schneider) et fut aussi précepteur des enfant de cet industriel. Il était un peu écrivain et a traduit "La critique de la raison pure" de Kant! ce livre est toujours publié et fait toujours autorité chez les philosophes (publié aux Presses Universitaires de France). Il monta même une troupe de théatre qui eût beaucoup de succès pour l'époque. Il finit sa carrière comme chanoine à Rigny sur Arroux.
- le second, Baptiste était tout le contraire de son frère ainé, très bagarreur, il est mort jeune au cours d'une rixe (peut-être en sortie de bal?).
- le troisième, Jean-Marie, lui, était le vrai paysan qui prit la succession de son père. Il partit en 1914 faire la guerre et revint avec de graves blessures. Trépané, le corps criblé d'éclats d'obus, il fut ramassé sur le champ de bataille avec les morts par les anglais qui s'apercurent qu'il vivait encore et le sauvèrent!
- le quatrième, Henri mon père qui mourut jeune (42 ans) d'une rupture d'anévrisme, ne resta pas longtemps cultivateur. Le lopin de terre ne suffisait pas pour nourrir tant de bouches! Il apprit donc à Vareilles le métier de charron et c'est son frère Benoit, l'abbé, qui l'incita à venir travailler au Creusot chez Schneider. Il est parti aussi à la guerre, mais revint très vite, car l'usine le rappela, à cette époque, on avait besoin de canons et il fabriquait les roues de ces canons.
Il s'est marié une première fois avec Berthe Cersot et ils eurent un fils Georges, mais Berthe mourut très jeune de la scarlatine. Il fit connaissance de ma mère Francine Lahaye qui travaillait aussi chez Schneider car tous les hommes étaient plus ou moins en train de se faire écharper sur les champs de bataille et les femmes travaillaient comme les hommes. Il eurent deux fils, moi Roland et mon frère Lucien.
Mon grand père Claude-Marie, né à Saint Laurent en Brionnais était un paysan dans tous les sens du terme pour l'époque, très frustre, levé avant le jour et couché tard! Il travaillait très dur!
Mariè à ma grand mère Louise Grizard qui était tout le contraire. C'était un femme intelligente, bonne, très pieuse et évoluée pour son époque. Elle venait d'une famille des environs de Roanne où ses parents étaient artisans drapiers. Elle fut "placée" à Lyon et j'ignore comment ils se sont rencontrés.
Mon grand père dût faire son service militaire dans l'infanterie de marine. Il est parti directement en Cochinchine. Il fit la guerre là bas et revint en France juste pour commencer celle de 1870. Il faut préciser qu'il était parti pour 7 ans, à cette époque, pour le service militaire il fallait tirer un numéro et si on tombait sur le mauvais, on était enrôlé pour cette durée! Il a été fait prisonnier à Sedan et revint, à la fin de la guerre à son domicile à Vareilles à pieds!
Le couple eût 4 fils:
- le plus agé, Benoit (mon parrain) était un garçon très intelligent, et fit des "études" avec l'aide financière de chatelains de la région qui avaient remarqué ses dons. Il entra dans les ordres et devint abbé. Il fut nommé au Creusot comme curé de la paroisse St Laurent. Il faisait le catéchisme à l'école spéciale (Schneider) et fut aussi précepteur des enfant de cet industriel. Il était un peu écrivain et a traduit "La critique de la raison pure" de Kant! ce livre est toujours publié et fait toujours autorité chez les philosophes (publié aux Presses Universitaires de France). Il monta même une troupe de théatre qui eût beaucoup de succès pour l'époque. Il finit sa carrière comme chanoine à Rigny sur Arroux.
- le second, Baptiste était tout le contraire de son frère ainé, très bagarreur, il est mort jeune au cours d'une rixe (peut-être en sortie de bal?).
- le troisième, Jean-Marie, lui, était le vrai paysan qui prit la succession de son père. Il partit en 1914 faire la guerre et revint avec de graves blessures. Trépané, le corps criblé d'éclats d'obus, il fut ramassé sur le champ de bataille avec les morts par les anglais qui s'apercurent qu'il vivait encore et le sauvèrent!
- le quatrième, Henri mon père qui mourut jeune (42 ans) d'une rupture d'anévrisme, ne resta pas longtemps cultivateur. Le lopin de terre ne suffisait pas pour nourrir tant de bouches! Il apprit donc à Vareilles le métier de charron et c'est son frère Benoit, l'abbé, qui l'incita à venir travailler au Creusot chez Schneider. Il est parti aussi à la guerre, mais revint très vite, car l'usine le rappela, à cette époque, on avait besoin de canons et il fabriquait les roues de ces canons.
Il s'est marié une première fois avec Berthe Cersot et ils eurent un fils Georges, mais Berthe mourut très jeune de la scarlatine. Il fit connaissance de ma mère Francine Lahaye qui travaillait aussi chez Schneider car tous les hommes étaient plus ou moins en train de se faire écharper sur les champs de bataille et les femmes travaillaient comme les hommes. Il eurent deux fils, moi Roland et mon frère Lucien.
Voilà pour l'histoire coté paternel. Bientôt je transcrirai l'histoire de sa mère.
Vous qui êtes de la famille, si vous constatez des erreurs ou des omissions n'hésitez pas à me contacter. Et parlez de ce blog autour de vous ! SVP :)
Après relecture de ces écrits, je m'aperçois que les Pacaud ont un caractère très marqué!
Vous qui êtes de la famille, si vous constatez des erreurs ou des omissions n'hésitez pas à me contacter. Et parlez de ce blog autour de vous ! SVP :)
Après relecture de ces écrits, je m'aperçois que les Pacaud ont un caractère très marqué!
Ciel d'été!!
Mon orme de Chine, le plus beau
lundi 11 juin 2007
Une photo intéressante de Pékin
Aujourd'hui, je n'ai rien de spécial à raconter, je vous propose un montage de 2 photos prises en 1984/1985 au palais d'été à Pékin, quasiment au même endroit, en été et en hiver.
Ces images représentent le bateau de marbre situé sur le lac de ce palais. Pas mal hein!!
La qualité est médiocre, car elles sont scannées.
mercredi 6 juin 2007
vendredi 1 juin 2007
jeudi 31 mai 2007
mercredi 30 mai 2007
Liste des noms de famille cités dans cet arbre
Alix, Aubier, Auclair, Badet, Bretin, Burcet, Busselier, Casanovas, Cersot, Cinquin, Chainard, Charmeau, Collaudin, Conte, Déal, Démurget, Durand, Durix, Echallier, Fanet, Gardien, Genevois, Giraud, Guillemet, Ibarz, Jomain, Kupisz, Lahaye, Laplanche, Matray, Michel, Milot, Malatier, Melero, Moreau, Musset, Nourry, Nuguet, Olmos, Pacaud, Patin, Pertuisot, Thevenet, Valette, Valtin, Veysset, Wouts, Younes
In memoriam
L'arbre généalogique
Cliquer sur le titre ci-dessus. C'est l'arbre de la famille et de ses alliés.
Un fois sur le site Geni.com, vous pourrez ajouter des images, des infos des corrections sur les personnes qui vous concernent :)
Un fois sur le site Geni.com, vous pourrez ajouter des images, des infos des corrections sur les personnes qui vous concernent :)
Les origines
Origine du nom Pacaud:
du nom germanique Pagwald:
Pag: combat - dispute
Wald: qui gouverne
Famille issue de St Laurent en Brionnais (71) et de Vareilles (71) et certainement de La Pacaudière (42) village qui doit son nom aux premiers habitants de ce lieu qui étaient tous des Pacaud (ce village est à la frontière de la Saône et Loire et de la Loire) près de St Laurent en Brionnais.La Pacaudière, traversée par la Nationale 7 qui succéda à la route royale, à laquelle cette ville dut sa création (relais de repos et de gîte pour les voyageurs), le canton qui vit passer, au fil des siècles, de très nombreux personnages célèbres, de l'empereur d'Allemagne Sigismond (en 1416) à Charles Nodier (en 1835), en passant par Benvenuto Cellini (attaqué par des brigands au pont de la Vallée, en 1537), se caractérise par un passé riche et mouvementé dont son patrimoine architectural est le plus sûr témoin.
Simple hameau au XVe siècle, La Pacaudière doit son nom à la famille Pacaud qui y résidait et sa prospérité, ainsi que son importance administrative, à l'animation créée par les nombreux voyageurs qui y séjournaient ; les 12 foires annuelles qui s'y tenaient et les marchés hebdomadaires bénéficiaient naturellement de cette facilité de circulation. Malheureusement cet avantage avait aussi l'inconvénient d'ouvrir une voie à toutes les armées en marche, aux nôtres sans doute, mais aussi à celles de nos ennemis ; aux bandes des châtelains de Crozet qui se livraient au brigandage, aux Anglais, en 1363, qui s'attaquèrent au donjon de L'Espinasse, aux Écorcheurs de Villandrando, en 1441, aux soldats de François Ier qui dévastèrent le château de la Lierre à Saint-Martin d'Estréaux, ainsi qu'aux huguenots de François de Boucé (en 1568).
Les révolutionnaires ne furent pas davantage en reste dans ce déchaînement de violences qui n'épargne jamais les plus beaux édifices : ainsi le Petit Louvre, superbe construction de style Renaissance et de style gothique, qui fut sans doute à l'origine le rendez-vous de chasse du connétable de Bourbon, puis une hôtellerie princière, où François Ier, Henri IV, Louis XIII s'arrêtèrent et enfin un relais de poste au XVIIe siècle, eurent à souffrir de la fureur des vandales ; on raconte même que seul un bon mot sauva les deux petits génies (nus) qui soutiennent son écusson, un joyeux drille ayant fait remarquer qu'il fallait les épargner, car ils étaient sans culotte. A la même époque, le voyageur anglais Arthur Young passait dans la région, notant dans ses carnets la beauté du site et sa richesse archéologique.
du nom germanique Pagwald:
Pag: combat - dispute
Wald: qui gouverne
Famille issue de St Laurent en Brionnais (71) et de Vareilles (71) et certainement de La Pacaudière (42) village qui doit son nom aux premiers habitants de ce lieu qui étaient tous des Pacaud (ce village est à la frontière de la Saône et Loire et de la Loire) près de St Laurent en Brionnais.La Pacaudière, traversée par la Nationale 7 qui succéda à la route royale, à laquelle cette ville dut sa création (relais de repos et de gîte pour les voyageurs), le canton qui vit passer, au fil des siècles, de très nombreux personnages célèbres, de l'empereur d'Allemagne Sigismond (en 1416) à Charles Nodier (en 1835), en passant par Benvenuto Cellini (attaqué par des brigands au pont de la Vallée, en 1537), se caractérise par un passé riche et mouvementé dont son patrimoine architectural est le plus sûr témoin.
Simple hameau au XVe siècle, La Pacaudière doit son nom à la famille Pacaud qui y résidait et sa prospérité, ainsi que son importance administrative, à l'animation créée par les nombreux voyageurs qui y séjournaient ; les 12 foires annuelles qui s'y tenaient et les marchés hebdomadaires bénéficiaient naturellement de cette facilité de circulation. Malheureusement cet avantage avait aussi l'inconvénient d'ouvrir une voie à toutes les armées en marche, aux nôtres sans doute, mais aussi à celles de nos ennemis ; aux bandes des châtelains de Crozet qui se livraient au brigandage, aux Anglais, en 1363, qui s'attaquèrent au donjon de L'Espinasse, aux Écorcheurs de Villandrando, en 1441, aux soldats de François Ier qui dévastèrent le château de la Lierre à Saint-Martin d'Estréaux, ainsi qu'aux huguenots de François de Boucé (en 1568).
Les révolutionnaires ne furent pas davantage en reste dans ce déchaînement de violences qui n'épargne jamais les plus beaux édifices : ainsi le Petit Louvre, superbe construction de style Renaissance et de style gothique, qui fut sans doute à l'origine le rendez-vous de chasse du connétable de Bourbon, puis une hôtellerie princière, où François Ier, Henri IV, Louis XIII s'arrêtèrent et enfin un relais de poste au XVIIe siècle, eurent à souffrir de la fureur des vandales ; on raconte même que seul un bon mot sauva les deux petits génies (nus) qui soutiennent son écusson, un joyeux drille ayant fait remarquer qu'il fallait les épargner, car ils étaient sans culotte. A la même époque, le voyageur anglais Arthur Young passait dans la région, notant dans ses carnets la beauté du site et sa richesse archéologique.
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